Le musée italien : Un lieu de dépaysement au cœur de Jérusalem (1)
(un article ARTISTS PLANET paru dans le magazine METEOR)
En 2010, plutôt par hasard, je suis tombée sur une annonce concernant la rénovation et la réouverture du musée italien de Jérusalem. Ces quelques lignes ont suffi à susciter ma curiosité. Je me suis donc dit que, la prochaine fois que j’irais en ville, j’en profiterais pour descendre la rue Hillel et visiter ce musée.
Au premier étage d’un bâtiment qui hébergeait, dans le temps, l’Institut catholique allemand, proche de la porte de Jaffa, se trouvent la synagogue Conegliano Veneto et le musée Umberto Nahon, plus communément nommé le musée italien.
En 1952, la synagogue avait été transportée intégralement de Conegliano, un village italien situé entre Padoue et Venise, à Jérusalem. Elle n’était plus utilisée depuis le début du 20e siècle, à la suite du départ de la population juive.
Des inscriptions révèlent que sa construction avait commencé en 1701 pour être achevée en 1719.
Bâtie dans le style baroque, en grande partie en bois doré, elle est très pittoresque et mérite vraiment le détour.
Après avoir franchi la grille d’entrée, le visiteur entre dans un petit couloir qui sépare la synagogue du musée. A droite de l’entrée, se trouve le musée, composé de quatre salle
s. Les objets exposés datent, pour la plupart, des périodes baroque et rococo. Il y a aussi quelques œuvres plus récentes. Elles représentent à merveille la culture juive italienne. Chaque salle contient des pièces presque toutes liées aux rites juifs.
Dans la première salle, les ornements sont en métal. La plupart des objets de cette collection servent à décorer la Tora. Une couronne ornée de canons frappe le visiteur. Elle a été réalisée en 1949 par des Juifs du Piémont, en l’honneur du roi Carlo Alberto qui leur avait accordé l’émancipation et qui, pour cette raison, jouissait de leur admiration. Une autre couronne, moins élaborée, est datée de 1685. Elle est probablement parmi les premières couronnes de Tora.
Nicole SURKES (www.artists-planet.eu) – Paru dans METEOR MAGAZINE


an – caractéristiques de son travail – peuvent être vus dans la quasi-totalité des galeries du pays. Pourtant, il y a environ dix ans, ses œuvres avaient été unilatéralement retirées des vitrines des galeries d’Israël. A l’époque, on pensait que de nombreux faux circulaient et Kadishman avait pris la décision de retirer ses œuvres du marché de l’art israélien durant cinq ans.
t et continua ses expérimentations sur le thème de la nature et de l’art en exposant des arbres décorés et des sculptures au milieu de la forêt, comme à Montevideo en Uruguay, puis à Central Park à New York.
te une carrière artistique en étudiant la sculpture avec Rudi Lehmann et Moshe Sternschuss.
de Peinture Art Abstrait de Paris en 1968, et expose en Amérique du sud.