« Khamsa, Khamsa, Khamsa » at the Jerusalem Museum for Islamic Art

« Khamsa, Khamsa, Khamsa » at the Jerusalem Museum for Islamic Art    —

555 different Khamsas will be displayed in an exhibition, which is entirely devoted to the Khamsa, one of the most widespread motifs and artifacts in popular culture. Over the course of many years, the hamsa turned from a traditional object with a magical role – both in Moslem culture and Jewish culture – into an iconic object, which represent popular culture and art. In a process of cultural evolution Khamsa production became commercial and penetrated numerous areas of life: commercials and street billboards, business premises and public institutions, key holders and as an ornamental object in the car. Many strata of the population now use the Khamsa, and it has become an integral part of Israeli identity in 2018.

The exhibition is divided into three sections, each of which represents different portrayals of the Khamsa:

The first part comprises an extensive project specially devised for the exhibition, at the museum’s request. Some 50 artists and designers, from various fields, including: painting and sculpture, new media, visual communications, industrial design, product design, jewelry and Judaica, will present their new and contemporary rendition of the Khamsa.

The second part of the exhibition presents an extensive visual project based on a survey of hundreds of historic Khamsas from the private collection of Judaica collector William Gross, who is considered one of the world’s leading collectors of hamsas . As part of the project graphic designer Shirley Rachel Rochman “deconstructed” the different Khamsas in the collection to their visual and textual components, and identified patterns relating to form, symbols and ornamentation, including fish, flowers, lizards etc. These elements recur in various sequences. The research findings will be displayed in the exhibition, based on the infographics method, which will shed light on the design and origins of the Khamsa.

The third part of the exhibition comprises a unique exhibit of dozens of Khamsas which convey the incredible wealth of commercial Khamsas in Israel. The aim of this part of the exhibition is to illustrate the path the Khamsa has traveled, from a traditional artifact with a magical purpose, to an iconic object that represents popular art and culture, and which encompasses communities and sectors of the population. Some of the Khamsas were purchased from market stalls in the Old City of Jerusalem. Those are certainly aimed at tourists and, as the symbols and inscriptions on them indicate, are principally targeted at foreign tourists. In contrast, the curators find Khamsas designed for the local population at Everything for a Shekel stores on Jerusalem’s Jaffa Road, at stalls at Mahaneh Yehuda Market in Jerusalem, and the Carmel Market in Tel Aviv, the Flea Market in Jaffa and at the Ramla-Lod Market. Other Khamsas were brought from places “charged” with sacred significance, such as the Western Wall piazza, the graves of sages etc.

Designers and artists participating in the exhibition:

Buthina Abu Milhem, , Hannan Abu Hussein,  Fouad Agbaria, Dov Abramson,  Zev Engelmayer, Andi Arnovitz ,  Avi Biran, Feodor Netanel Bezzubov,  , Erez Gavish, Ken Goldman, Yariv Goldfarb, Anat Golan, Tal Gur and Lou Moria , , Omri Goren, Zenab Garbia, , Hili Greenfeld, Chanan De-Lange, Israel Dahan, Rory Hooper, Oded Halahmy,  Eden Herman- Rosenblumn,   Arik Weiss, Sandra Valabregue, Reuven Zehavi, Ezri Tarazi, Amit Trainin, Noa Tripp, Rami Tareef, Ariel Lavian, Gregory Larin, Itai Noy, Yifat Naim, Uri Samet, Adi Sened, Sari  Srulovitch,  Shelly and Eilon Satat-Kombor, Ashraf Fawakhry, Itamar Paloge, Haim Parnas,  Yaakov Kaufman, Shirley  Rachel Rochman, Amit Shor, Samah Shihadi, Avishag Sterngold, Fatma Shanan.

The Jerusalem Museum for Islamic Art

HaPalmach St 2

Phone: 02-5661291

Dr Shirat-Miriam SHAMIR (Docteur en Arts et commissaire d’exposition) et Ido NOY

 

Aarale BEN ARIE: là où l’est rencontre l’ouest (1)

Aarale Ben-Arie : là où l’Est rencontre l’Ouest (première partie)
(UN ARTICLE ARTISTS PLANET PARU DANS LE MAGAZINE METEOR)

Sculpteur et peintre israélien, Aarale (Aaron) Ben Arie est né en 1955 à Haïfa. Il vit aujourd’hui à Tzafririm, un moshav situé non loin de Jérusalem.

Autodidacte, il choisit d’étudier auprès d’artistes et d’artisans ; il apprend artists-planet-meteor-magazine-6-copienotamment de potiers et de menuisiers de Gaza et d’Hébron. Il se met à sculpter le bois, il reconstitue des outils antiques et crée des ateliers de travail.

On peut dire de lui qu’il est un créateur d’expériences.

Tout au long de sa carrière, Aarale Ben-Arie a principalement créé des sculptures, à la fois miniatures et monumentales, pour des environnements ruraux et urbains, pour des espaces privés et publics en Israël et à l’étranger.

Ses œuvres se situent à la frontière entre illustrations natartists-planet-meteor-magazine-7-copieuralistes et silhouettes abstraites, bandes dessinées et hiéroglyphes, représentations en deux et trois dimensions.

L’exposition Là où l’Est rencontre l’Ouest (Where East Meets West), présentée en 2007 à la Galerie Heppaecher en Allemagne, a rassemblé trente sculptures en bois et en métal s’inspirant d’une expérience à la fois politique et culturelle du Moyen-Orient. Ces sculptures hiéroglyphiques, de 25 à 30 centimètres de hauteur chacune, ont été réalisées en Israël à partir d’étain, de cuivre, de cuivre doré et de bois.

Pour l’occasion, une semaine avant le début de l’exposition, l’artiste avait même réalisé une nouvelle installation de grandes sculptures en bois.

Ces œuvres donnaient, en substance, une synthèse du travail effectué par l’artiste, au cours des trois années précédentes, des thèmes et des styles qu’il utilisait de manière récurrente.

Mélange de passion et de logique, ces sculptures en bois et en métal représentent, dans la carrière d’Aarale, un changement de direction.

Si sa quête d’inspiration spirituelle est née de sa découverte des richesses de l’Egypte ancienne, l’artiste a toutefois puisé la plupart de simages-4es sources de création dans des cultures plus proches de lui, principalement en Israël.

Ce ne sont pas les monuments architecturaux colossaux historiquement associés à ces civilisations antiques qui ont captivé l’imagination de Ben-Arie, mais les concepts transcendantaux qui y sont profondément ancrés. Les hiéroglyphes, les mythes et les légendes donnant de l’univers une interprétation séculaire ont ouvert à Aarale un passage, duquel ont émergé ses sculptures contemporaines.

Créer des œuvres de petite taille, et les reproduire ensuite à plus grande échelle pour les présenter dans des environnements vastes lui a permis de dépasser ses limites et de réaliser à ce jour quelques-unes de ses plus belles créations.

A suivre

Dr Shirat-Miriam SHAMIR (Docteur en Arts et commissaire d’exposition)

A partir de ce jeudi 5 octobre (ne ratez surtout pas le vernissage à 18heures !), la bibliothèque et la salle d’exposition de Furiani abriteront une exposition plutôt originale : « Regards ». Une manifestation artistique pluridisciplinaire portée par le Collectif UtopiArt.

image: http://www.corsenetinfos.corsica/photo/art/grande/17460090-21948510.jpg?v=1507147202

image: http://www.corsenetinfos.corsica/photo/art/default/17460090-21948510.jpg?v=1507147224

Furiani : Une manifestation artistique pluridisciplinaire à ne pas manquer !

image: http://www.corsenetinfos.corsica/photo/corse_net_infos_4.gif?v=1505632460

UtopiArt est un collectif de bénévoles dont l’objet est l’accompagnement d’artistes par l’organisation de manifestations culturelles. Les ventes réalisées lors de l’exposition serviront en partie à collecter des fonds pour l’organisation de nouveaux événementiels culturels en partenariat  avec d’autres collectifs et associations.
Regards  est avant tout une exposition collective qui durera jusqu’au 27 octobre.

Vous pourrez y découvrir à partir de ce jeudi 5 de nouvelles toiles de Jacques Papi, le « Pollock Corse »,  des peintures et des montages de Jean-Claude Puccedu, des compositions digitales de Maurice Rignol Rogliano, des sculptures en bois flotté de Joëlle Chevalier, et des créations originales de Lory Merlenghi.
Lors du vernissage, à partir de 18 heures, le public pourra assister à une prestation de spectacle vivant donnée par l’actrice parisienne Laurence Bourdais, accompagnée par l’acteur Pascal Cannebotin et à un concert du chanteur Xinarca, accompagné de son cistre corse.

Une démarche mosaïque qui  trouve son équilibre dans la charge émotionnelle d’artistes réunis en Corse par le Collectif UtopiArt, dont l’objectif est d’unir des talents divers pour les harmoniser, et de leur permettre de s’approprier notre quotidien pour le remodeler et en faire ressortir de nouveaux  espaces de création libre.
Tout au long de l’exposition, des artistes seront invités à peindre dans ce cadre privilégié; où seront également organisés des ateliers de création destinés à des enfants, qui pourront ensuite exposer leurs travaux, des scènes ouvertes de slam et des ateliers de théâtre.

Enfin,  Regards est surtout une manifestation pluridisciplinaire qui vise à placer ses visiteurs au cœur du processus créateur et de sa relation au temps, à l’espace, à la culture, pour leur apporter une nouvelle vision de notre univers artistique.
Un avant goût de cette exposition sur CNI en compagnie de Michèle Alberti, adjointe au maire de Furiani, déléguée à la culture….

Les artistes présents au vernissage de ce jeudi
Arts Visuels
Jacques PAPI (Action Painting)
Joëlle CHEVALIER (Sculptures)
Jean-Claude PUSCEDDU (Montages et peinture)
Lory MERLENGHI (Tricot et recyclage)
Maurice ROGLIANO (Art digital)
Spectacle vivant
Laurence BOURDAIS (Comédienne / metteur en scène)
Pascal CANNEBOTIN (Acteur)
Concert
XINARCA (Chant et cistre corses)
Exposition temporaire : Bibliothèque municipale et salle d’exposition de FURIANI, du 5 au 27 octobre 2017.
Ouvert tous les jours hors WE de 9h à 12h et de 14h à 18h.

En savoir plus sur http://www.corsenetinfos.corsica/Furiani-Une-manifestation-artistique-pluridisciplinaire-a-ne-pas-manquer-_a29679.html#9DzTmesVP1f6MwWI.99

« Bastia-Le Passager » : Jean-Claude Pusceddu expose au Ha-Noi Social Club

« Bastia-Le Passager » : Jean-Claude Pusceddu expose au Ha-Noi Social Club
A l’occasion de l’inauguration de la galerie associative du Ha-Noi Social Club, l’association et www.artists-planet.eu invitent les bastiais au vernissage de l’exposition « Bastia – Le Passage », du peintre et sculpteur bastiais Jean-Claude Pusccedu, qui aura lieu au Ha-Noi ce samedi à 18 heures.

Éternel humaniste dont l’histoire personnelle est intimement liée à celle de artists-planetsa ville, Jean-Claude Pusceddu  interpelle les  voyageurs qui transitent par le Hanoï et les habitants de l’agglomération sur les mutations urbaines.
Dans une scénographie qui traduit un mouvement ancien et profond d’urbanisation progressive de la ville, « Bastia – le Passage », confronte et sensibilise ses visiteurs à un phénomène planétaire lourd de conséquences.
Ancrée  dans cette démarche, qui accompagne les initiatives et les innovations qui contribuent à relever ce défi, l’exposition se déroulera au Ha-Noi Social Club, une ancienne école recyclée en espace collaboratif qui mêle culture et écologie, un lieu de coworking et d’accueil des voyageurs.
Tout au long de l’exposition, des artistes seront invités à peindre dans ce cadre privilégié où seron"Bastia-Le Passage" : Jean-Claude Pusceddu expose au Ha-Noi Social Clubt également organisées des scènes ouvertes de slam et des ateliers de théâtre.
Là, en suivant la sensibilité de l’artiste, « Bastia – Le Passage » propose un voyage dans le temps, à la rencontre de celles et ceux qui fabriquent, produisent et au final inventent l’histoire de notre territoire.
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Vernissage
Samedi  29 Octobre à partir de 18 heures.
Exposition temporaire
Du samedi 29 octobre au dimanche 6 novembre – Tous les jours de 9h30 à 19h30

Rédigé par le Jeudi 27 Octobre 2016 (www.artists-planet.eu)

About Eden Herman-Rosenblum at « Judaica Now! »: Goblets and Kiddush Cups of the Bezalel School Exhibition at Rishon Le Zion Museum

About Eden Herman-Rosenblum at « Judaica Now! »:  Goblets and Kiddush Cups of the Bezalel School Exhibition at Rishon Le Zion Museum

One of the most prominent Contemporary Judaica designer and Jewish artist coupe-edenpiein the exhibition is Eden Herman-Rosenblum. She began her career in Bezalel Academy of Art, Silversmith Department, in 1990. After graduating in Silversmithing and Jewellery at Bezalel Academy of Art Jerusalem, She now brings her unique ideas to the field of Judaica, working from her design studio and workshop in Pardes-Hana Kurkar, Israel.

All Eden’s products are original handcrafted pieces, including Havdalah Set,  modern Menorot for Hannukah, Kiddush Cups, Marriage rings and many different mezuzah designs.

Each piece is beautifully boxed making it an ideal gift for Jewish weddings, Jewish holidays, Bar or Bat Mitzvahs, as well as for housewarming and hostess gift giving.

Eden’s fresh ideas contribute to a new wave of exciting Judaica design, shaking up the traditional Jewish objects and generating worldwide interest. Her work is exhibited in galleries and museums around the world.

Eden’s Inspiration for her Judaica designs.

Many of Eden’s Judaica designs are inspired by her love to irony of a fantastic design based on what is now history. Combining this with her Jewish upbringing and identity, Eden has produced many stunning pieces of modern Judaica.

Eden was thrilled when she was contacted by the curators: Dr. Shirat-Miriam Shamir and Mr. Ido Noy . At a request from Dr. for Jewish Art and a researcher at the Center for Jewish Art in Jerusalem, they proposed to take three of Eden’s Kidush Cups to their exhibition, « Judaica Now! »:  Goblets and Kiddush Cups of the Bezalel School Exhibition at Rishon Le-Zion Museum .

Dr Shirat-Miriam SHAMIR (Docteur en Arts et commissaire d’expositionand Mr. Ido Noy,

Les moutons de Ménashe KADISHMAN

Les moutons de MENASHÉ KADISHMAN
(UN ARTICLE ARTISTS PLANET PARU DANS ASHDOD CAFE)

Depuis son décès en mai 2015, les portraits de moutons de Menashe
Kadishman – caractéristiques de son travail – peuvent être vus dans la quasi-totalité des galeries du pays. Pourtant, il y a environ dix asans-titre-6ns, ses œuvres avaient été unilatéralement retirées des vitrines des galeries d’Israël. A l’époque, on pensait que de nombreux faux circulaient et Kadishman avait pris la décision de retirer ses œuvres du marché de l’art israélien durant cinq ans.

Kadishman lui-même affirmait que sa carrière artistique n’avait pas commencé avec des moutons, mais avec un arbre. Il en peignit un sur le mur du musée d’Israël à l’occasion de son 25e anniversaire.

Son art ne connut pas immédiatement la reconnaissance et le succès. Mais le jeune artiste ne se laissa pas décourager pour autant et continua ses expérimentations sur le thème de la nature et de l’art en exposant des arbres décorés et des sculptures au milieu de la forêt, comme à Montevideo en Uruguay, puis à Central Park à New York.

Il alla plus loin dans son art avec les Negative trees (Arbres en négatif), qu’il exposa au Lac Berta , à Duisbourg en Allemagne.

Plus tard, Menashe Kadishman abandonna les arbres et la forêt pour se consacrer aux Kadishfeuilles. Son installation Shalechet (Les Feuilles mortes) représente des visages à la bouche grande ouverte, comme Le Cri de Munch. Elle est située dans l’un des espaces vides du bâtiment de Libeskind du Musée juif de Berlin, où plus de 10 000 visages découpés dans de lourds disques d’acier recouvrent le sol. Ces visages ont vocation à rappeler aux visiteurs les victimes innocentes d’hier, d’aujourd’hui et de demain.

Kadishman naît en 1932 à Tel Aviv, en Palestine sous mandat britannique. Il se voit comme un pionnier et devient berger dans un kibboutz. Il entame ensuikadte une carrière artistique en étudiant la sculpture avec Rudi Lehmann et Moshe Sternschuss.

Plus tard, il s’installe à Londres, où il poursuit ses études à la Saint Martins School of Art et à la Slade School of Fin
e Art. Il reste 12 ans en Angleterre, où il expose pour la première fois des sculptures crues et imposantes qui traduisent sa perception d’Israël.

Même après son retour en Israël, il réalise de nombreuses expositions en Amérique et en Europe. Il représente ainsi son pays à la Documenta de Cassel en 1968, et en 1978 à la Biennale de Venise où, revenant à son sujet de prédilection, il transforme son stand en étable et lui donne vie avec des moutons exposés en chair et en os.

Il reçoit le prix Israël en 1995.

Nicole SURKES  (www.artists-planet.eu) – paru dans Ashdod Cafe

 

Nira NISENHOLTZ : le passage intérieur

Nira NISENHOLTZ : le passage intérieur
(présentation d’artiste par ARTISTS PLANET)

Nira Nisenholtz Chamla est née à Buenos Aires en 1937 et a entamé sa carrière d’artiste professionnel après avoir été diplômée de l’Ecole d’art Fernando FADER en 1956.

NIRA NISENHOLTZ CHAMLA
Nira NISENHOLTZ CHAMLA -« Vision »

Après quatre années passées à l’atelier du peintre Urruchua, elle quitte l’Argentine pour vivre dans un Kibboutz Israélien.

Dans le cadre du mouvement « Nouveaux Horizons », elle travaille auprès de Streichman et de Propes, participant activement à l’introduction de l’art abstrait dans le paysage artistique israélien .

En Israël, elle présente ses premières expositions individuelles dès 1962.

Saluée et reconnue par la presse israélienne, puis française, c’est dans les année 60 que l’oeuvre de l’artiste atteint un public international.

Elle enchaîne les expositions individuelles en Israël et en France, où elle remporte le prixNira_Nisenholtz-Chamla de Peinture Art Abstrait de Paris en 1968, et expose en Amérique du sud.
De 1966 à 1968, elle travaille la sculpture  auprès de  Marino Marini dans son atelier parisien et commence à utiliser des techniques mixtes.

En 1985, elle s’installe dans le sud de la France et crée son propre atelier d’enseignement, tout en continuant d’exposer.

Avec une grande spontanéité, Nira Nisenholtz Chamla  explore plusieurs techniques, allant d’un expressionnisme abstrait, aux projections de matière ou aux collages. Elle arpente les frontières entre geste abstrait et représentation figurative.

Mais sa griffe reste toujours cette peinture physique, cette matière travaillée au corps, témoignage du monologue intime de l’artiste.

Caroline CHAMLA (www.artists-planet.eu– Présentation écrite pour le site www.art-nira.eu