Le musée Corinne Mamane de la culture philistine
(un article ARTISTS PLANET paru dans ASHDOD CAFE)
Le musée Corinne Mamane de la culture philistine est certainement le plus connu des trois musées de la ville. Il présente l’histoire de la ville portuaire d’Ashdod à l’époque antique où elle compte parmi les grandes cités philistines. Sa renommée dépasse ses frontières terrestres et maritimes.
Ashdod est mentionnée pour la première fois au XIIe s
iècle avant J.-C. tandis qu’elle vit sous l’hégémonie égyptienne. On la retrouve, par la suite, habitée par un peuple de la mer, probablement les Philistins. Elle est associée à quatre autres cités du littoral méditerranéen : Gaza, Ekron et Ashkelon, avec qui elle compose la Pentapole philistine.
Le musée Corinne Mamane de la culture philistine est le seul au monde à exposer de manière permanente des objets liés à la culture philistine. Les trouvailles archéologiques viennent d’Israël et des pays voisins. Le visiteur est guidé à travers une histoire de six ans, qui débute aux environs de 1200 avant J.-C. et s’achève avec la conquête babylonienne des territoires et de la mer en 600 avant J.-C. Cette exposition présente des aspects culturels qui, par exemple, permettent de comprendre la fameuse histoire de Samson et de Dalila ou bien encore celle de David et de Goliath.
Le musée intéressera tout visiteur, quel que soit son âge.
Nicole SURKES (www.artists-planet.eu) – Paru dans www.ashdodcafe.com


multidisciplinaire situé au centre de la ville, à quelques pas de la station centrale d’autobus. Le musée ouvre treize espaces dans une structure en spirale répartie sur trois étages. Il n’est pas seulement un lieu d’exposition, mais sert également de lieu d’accueil pour des scolaires, principalement à destination de la jeunesse d’Ashkelon. Un de ses principaux objectifs est d’encourager l’enfant à trouver une approche personnelle du monde de l’art. En outre, en coopération avec le musée Israël de Jérusalem, le musée d’art d’Ashdod est autorisé à donner des cours d’art et offre de valider un diplôme reconnu à l’échelon national.
ortraits de roulas sensuelles et colorées, est né en 1883 à Vitebsk dans le même « schtetel » que Marc Chagall.
ns, ses œuvres avaient été unilatéralement retirées des vitrines des galeries d’Israël. A l’époque, on pensait que de nombreux faux circulaient et Kadishman avait pris la décision de retirer ses œuvres du marché de l’art israélien durant cinq ans.
feuilles. Son installation Shalechet (Les Feuilles mortes) représente des visages à la bouche grande ouverte, comme Le Cri de Munch. Elle est située dans l’un des espaces vides du bâtiment de Libeskind du Musée juif de Berlin, où plus de 10 000 visages découpés dans de lourds disques d’acier recouvrent le sol. Ces visages ont vocation à rappeler aux visiteurs les victimes innocentes d’hier, d’aujourd’hui et de demain.
te une carrière artistique en étudiant la sculpture avec Rudi Lehmann et Moshe Sternschuss.
iage, décorés à la main. Mais les pièces les plus surprenantes et les plus intéressantes sont les lettres écrites par Théodore Herzl. Adressées à Félice Ravenna, un des dirigeants de la Fédération sioniste italienne, ces lettres donnent un compte rendu des entretiens de Théodore Herzl avec le pape et le roi d’Italie.
s. Les objets exposés datent, pour la plupart, des périodes baroque et rococo. Il y a aussi quelques œuvres plus récentes. Elles représentent à merveille la culture juive italienne. Chaque salle contient des pièces presque toutes liées aux rites juifs.