Iris Tutnauer at « Judaica Now! »: Goblets and Kiddush Cups of the Bezalel School

« Judaica Now! »:  Goblets and Kiddush Cups of the Bezalel School Exhibition at Rishon Le Zion Museum

The first prominent Contemporary Judaica designer and Jewish artist in the exhibition is Iris Tutnauer.
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Iris Tutnauer was born, lives and works in Jerusalem. She graduated from the Bezalel Academy of Art, Silversmith Department, in 1990.

Iris’s unique work integrates contemporary design and exceptional craftsmanship to express traditional Jewish concepts and values.

Her Judaica pieces have been purchased by the Israel Museum in Jerusalem, the Jewish Museum in NY and the North Carolina Museum of Art, in addition to several private collections.

artists-planet-iris-tutnauer-rula-magazine-copieIn creating her Kiddush cup Iris Tutnauer finds her inspiration from a Kiddush cup with a lid from her grandfather’s home in Iraq.  Tutnauer excels in passing on the sense of nostalgia and grants a presence to her childhood memories together with her experiences as a grown woman at the present time.

Dr. Shirat-Miriam SHAMIR (Docteur en Arts et commissaire d’exposition) and Mr. Ido Noy,

 

Vernissage de l’exposition « Judaïca contemporaine » à Rishon Letzion

« Judaica contemporain, coupes et verres à vin de l’Ecole des beaux-arts de Bezalel »
(un article ARTISTS PLANET paru dans ASHDOD CAFE)

« Judaica contemporain : coupes  et verres à vin de l’Ecole des beaux-arts de Bezalel  » présente une collection de 48 coupes et verres de kiddouch  conçus par des artistes et des designers israéliens de premier ordre, parmi les plus reconnus en Israël et dans le monde.

Les artisartists-planet-ashdod-cafetes issus de la prestigieuse école d’art de Jérusalem expriment, dans  cette nouvelle collection de Judaïca, leur interprétation personnelle et contemporaine des objets de culte. On y trouve de nouvelles approches du monde juif et des objets rituels. Que ce soit d’un point de vue culturel, historique, social, matériel et technologique.

Des dizaines des coupes et verres à vin conçus et présentés par les artistes 48 ont été sélectionnés par les curateurs, ainsi que deux courts métrages qui retracent l’histoire de la  Judaïca de l’Ecole Bezalel.artists-planet-ashdod-cafe

La richesse des objets représentent de manière très précise les approches des différentes promotions de l’école du design
israélien, et les préférences des collectionneurs contemporains.

Si une partie des œuvres ont été conçues selon la halah’a et les règles de cacherout, et sont destinés à une utilisation dans des maisons juives, certaines ont été créées dans une démarche différente, conceptuelle et interrogative plus que religieuse.

artists-planet-ashdod-cafe-copieCommissaires de l’exposition : Dr Shirat Miriam SHAMIR et Ido NOY.

L’inauguration se tiendra au musée de Rishon LeZion (2 rue Ehad Ha’am)  le jeudi 29/09/2016 et l’exposition durera jusqu’au 28/03/2017.

Horaires d’ouverture du musée :Dimanche, mardi, mercredi et jeudi de 9 à 14hMardi : de 9h à 13h.

Prix d’entrée : 25 NISRenseignements : 03 95 98 862

Dr Shirat-Miriam SHAMIR (Docteur en Arts et commissaire d’exposition) – Paru dans www.ashdodcafe.com

 

« Judaica Now! »: Goblets and Kiddush Cups of the Bezalel School

You are cordially invited to the opening of:

Hallel Carmel Bezalel Exhibition

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Curator: Yona Shapira

« Judaica Now! »:  Goblets and Kiddush Cups of the Bezalel School

Curators: Dr. Shirat-Miriam Shamir and Ido Noy

The Rishon Le-Zion Museum

Ahad Haam 2, Rishon Le-Zion

Opening: Thursday, September 29, 2016, 7:30pm

 Participating artists:

  1. Roth Merav│ Ofir Arie│ Epstein Anna│ Biran Avi│ Ben-Ari Michal│ Goldschmidt – Kay Merav│ Gilboa Rinat│ Dahan Israel│ David-Shoham Aviya │ Hooper Rory│ Herman Rosenblum Eden│ Vardi Nimrod│ Zahavi Reuven│ Zilberman Noa │ Chen Attai│ Tutnauer Iris│Tarazi Ezri│ Tripp Noa │ Cohavi Malka│ Lavian Ariel│ Matityahu Yossi │ Nir Orly │ Naim Yifat│ Sevinir Rebecca │ Segal Zelig Z »L│ Srulovitch Sari│ Friedman Amir │ Parnas Haim│ Zabari Moshe│ Rosenthal Lena│ Resheff Maya │Shur Amit

Program:

7:00-7:15pm.            Reception

7:30pm.         Welcome and opening remarks

Mr. Dov Zur – the mayor of The Rishon Le-Zion

Nava Kessler –Rishon Le-Zion Museum Director

 » Winery Club  » – « fun » , singing and dancing on the tables as in the original winery club in Rishon-Le-Zion.

The exhibition runs until March 18, 2017.

Tours of The Rishon Le-Zion Museum are available in groups to be booked in advance  in: Hebrew, English, Russian, Spanish.

 Opening hours:

Sunday, Tuesday, Wednesday, Thursday 09:00-14:00,

Monday 09:00-13:00, 16:00-19:00,

Every first Saturday of the month 10:00-14:00

             Location:

2 Ehad Haam st., corner of Kikar HaMeyasdim (the Founders’ square),

Rishon Le-Zion, 03-9598890, ronitm@hironit.co.il

Aarale BEN ARIE: là où l’est rencontre l’ouest (1)

Aarale Ben-Arie : là où l’Est rencontre l’Ouest (première partie)
(un article ARTISTS PLANET paru dans le magazine METEOR)

Aarale Ben-Arie appartient à ce cercle grandissant d’artistes qui explorent plutôt que ne concluent, qui préfèrent expérimenter plutôt que chercher à inscrire des idées arrêtées. Les œuvres présentées au public sont souvent pensées pour être des pièces éphémères, rendant compte du processus de fabrication artistique et d’emploi de matériaux, plutôt que rapportant les plaisirs d’une expérience esthétique.

Sculpteur et peintre israélien, Aarale (Aaron) Ben Arie est né en 1955 à Haïfa. Il vit aujourd’hui à Tzafririm, un moshav situé non loin de Jérusalem.

Autodidacte, il choisit d’étudier auprès d’artistes et d’artisans ; il apprend artists-planet-meteor-magazine-6-copie

notamment de potiers et de menuisiers de Gaza et d’Hébron. Il se met à sculpter le bois, il reconstitue des outils antiques et crée des ateliers de travail.

On peut dire de lui qu’il est un créateur d’expériences.

Tout au long de sa carrière, Aarale Ben-Arie a principalement créé des sculptures, à la fois miniatures et monumentales, pour des environnements ruraux et urbains, pour des espaces privés et publics en Israël et à l’étranger.

Ses œuvres se situent à la frontière entre illustrations naturali stes et silhouettes abstraites, bandes dessinées et hiéroglyphes, représentations en deux et trois dimensions.

L’exposition Là où l’Est rencontre l’Ouest (Where East Meets West), présentée en 2007 à la Galerie Heppaecher en Allemagne, a rassemblé trente sculptures en bois et en métal s’inspirant d’une expérience à la fois politiquartists-planet-meteor-magazine-7-copiee et culturelle du Moyen-Orient. Ces sculptures hiéroglyphiques, de 25 à 30 centimètres de hauteur chacune, ont été réalisées en Israël à partir d’étain, de cuivre, de cuivre doré et de bois.

Pour l’occasion, une semaine avant le début de l’exposition, l’artiste avait même réalisé une nouvelle installation de grandes sculptures en bois.

Ces œuvres donnaient, en substance, une synthèse du travail effectué par l’artiste, au cours des trois années précédentes, des thèmes et des styles qu’il utilisait de manière récurrente.

Mélange de passion et de logique, ces sculptures en bois et en métal représentent, dans la carrière d’Aarale, un changement de direction.

Si sa quête d’inspiration sptelechargement-2irituelle est née de sa découverte des richesses de l’Egypte ancienne, l’artiste a toutefois puisé la plupart de ses sources de création dans des cultures plus proches de lui, principalement en Israël.

Ce ne sont pas les monuments architecturaux colossaux historiquement associés à ces civilisations antiques qui ont captivé l’imagination de Ben-Arie, mais les concepts transcendantaux qui y sont profondément ancrés. Les hiéroglyphes, les mythes et les légendes donnant de l’univers une interprétation séculaire ont ouvert à Aarale un passage, duquel ont émergé ses sculptures contemporaines.

Créer des œuvres de petite taille, et les reproduire ensuiteimages-5 à plus grande échelle pour les présenter dans des environnements vastes lui a permis de dépasser ses limites et de réaliser à ce jour quelques-unes de ses plus belles créations.

A suivre

Dr Shirat-Miriam SHAMIR (Docteur en Arts et commissaire d’exposition) paru dans le magazine METEOR

 

« Le Temps d’une île »: Une nouvelle exposition de Jean-Claude PUSCEDDU

exposition: ‘Le temps d’une île » de Jean-Claude Pusceddu
(UN ARTICLE ARTISTS PLANET  PARU DANS « Corse Net Infos »)

Consacrée à l’artiste Corse Jean-Claude Pusceddu, l’exposition « Le Temps d’une Île » présente à Vescovato jusqu’au 21 août un ensemble de peintures et de sculptures qui pour la plupart n’ont jamais été exposées.

Contrastant avec la série d’œuvres exécutées à l’occasion de l’expo bastiaisejean-claude Pusceddu: Exposition "Le temps d'une île" « Chantier Interdit », les pièces présentées se succèdent pour susciter des impressions  et des sensations touchant à plusieurs registres émotionnels.

Une approche visuelle qui vise, par un choix de toiles, de sculptures et de collages à transporter le spectateur au cœur du processus créateur et de sa relation au temps.

Cette démarche mosaïque trouve son identité et son équilibre dans la charge émotionnelle spontanée et pleine de fraîcheur jean-claude-pusceddu-le-cri-2000de Jean-Claude Pusceddu, qui entraîne le public dans son théâtre privé.

Mettant en scène le rapport du Lieu et du Temps à la création, l’artiste a investi la salle dès le 6 août  pour créer sur place de nouvelles pièces en un atelier éphémère qui durera le temps de l’exposition. Les œuvres réalisées dans cet espace-temps privilégié seront accrochées en présence de Benoît Bruzi maire de Vescovato, samedi 13 à 18 heures lors d’un cocktail de vernissage qui se tiendra donc une semaine après l’accrochage des premières pièces de l’exposition.

Ecrit par Caroline CHAMLA (www.artists-planet.eu) et Charles MONTI pour Corse Net Infos

Les couleurs de David GERSTEIN

Les couleurs de David Gerstein
(un article ARTISTS PLANET paru dans ASHDOD CAFE)

David Gerstein est né à Jérusalem en 1944. Il a parcouru le monde grâce à son art et vit aujourd’hui en Israël, mais ses œuvres sont exposées aux quatre coins du globe.

telechargementL’évolution artistique de Gerstein explique la place particulière qu’il tient dans le monde de l’art en Israël. Son parcours universitaire l’a mené vers les plus prestigieuses écoles d’art au monde et lui a permis d’apporter à son pays des techniques et tendances nouvelles.

En 1965, il entre à l’Ecole des beaux-arts de Bezalel à Jérusalem où, durant deux années, il apprend les bases. Il part ensuite à Paris pour étudier avec Roger Chapelain-Midy, alors chef d’atelier, à l’École nationale supérieure des beaux-arts. Deux ans plus tard, il se rend à l’Art Students League de New York, où il se concentre
sur la peinture de portraits et les estampes.

À 26 ans, il retourne en Israël et devient professeur à l’Ecole des beaux-arts de Bezalel.

Il commenimagesce par enseigner le dessin puis rejoint le département de Joaillerie / Création de bijoux de la faculté. L’introduction du design danois, du
minimalisme ainsi que d’autres tendances contemporaines figurent parmi ses importantes contributions. Il a également fait en sorte que la joaillerie puisse bénéficier de la même place que l’art contemporain.

Doudou Gerstein débute en tant que peintre figuratif et illustrateur de livres pour enfants.

Il reçoit le prix de l’illustration du musée d’Israël. Ses années d’enseignement à l’Ecole de Bezalel lui permettent, entre autres, de se lancer dans la sculpture. Ses sculptures post-pop se caractérisent par des couleurs vives et des découpes d’acier multicouches.

En 1971, la Galerie Engel de Jérusalem expose ses dessins figudavid_gerstein_aparatifs et ses aquarelles. Un an plus tard, la Maison des Artistes de Jérusalem présente de grandes peintures à l’huile représentant à la fois des scènes intérieures et des bords de mer. Ce travail lui vaut des critiques enthousiastes mais Gerstein doit quand même se battre pour légitimer l’art figuratif, à l’heure où l’art conceptuel est la norme à Jérusalem.

La première sculpture extérieure de Gerstein lui est commissionnée pour un jardin public de Jérusalem en 1988. Suivent d’autres installations, comme par exemple celle du Musée Ouvert de Tefen, dans le nord d’Israël.

Ses installations dépassent largement les frontières israéliennes.

Flora & Fauna (Flore & Faune) est à Séoul, en Corée du Sud, et Cypress (Cyprès) se trouve au musée juif de Rome, pour n’en citer que quelques-unes.

Parmi ses sources d’inspiration figurent les papillons, les oiseaux, les cactus, les cyclistes ou encore limages-1es cœurs.

Les œuvres de David Gerstein sont depuis longtemps exposées et vendues dans le monde entier. Lors d’un récent voyage en France, j’ai eu l’occasion d’admirer l’une de ses installations dans une grande galerie de Montmartre.

 Nicole SURKES (www.artists-planet.eu) – Paru dans www.ashdodcafe.com

 

Les Roulas d’Abel Pann (2)

Les Roulas d’Abel Pann
(un article ARTISTS PLANET paru dans « ROULA MAGAZINE »)

Deuxième partie:

De 1912 à 1913, après avoir roulé sa bosse en Europe et en Egypte, Abel Pann séjourne en  Palestine. A l’invitation de Boris Schatz, directeur-fondateur de l’École des Beaux-arts de Bezalel, il va y enseigner la peinture.

Sioniste convaincu, il rentre en France pour organiser son départ définitif. Mais ses projets sont retardés par la déclaration de guerre.artists-planet-roula-magazine-5

Entre 1914 et 1917, il réalise des affiches populaires destinées à éveiller le sentiment patriotique et à renforcer le moral des Français.

Dans le même temps, la situation des juifs sur le front oriental l’inquiète. Ils subissent, depuis juillet 1914, des exactions de la part de l’armée tsariste et de la population polonaise. Abel Pann dénonce ces persécutions par une impressionnante suite de dessins. Malheureusement, l’ambassadeur russe à Paris intervient pour en empêcher la publication.

En 1917, certain que les juifs de la diaspora seront toujours perdants, Abel Pann part pour les États-Unis.

Ce n’est qu’en 1920 qu’il s’établit définitivement en Palestine, où il enseigne à l’École des Beaux-Arts de Bezalel.

Il entameartists-planet-roula-magazine-3 alors une œuvre monumentale : les 5 livres de la Thora en lithographies.  Puis décide de mettre un terme à sa fonction de professeur pour ne se consacrer plus qu’à son art.

Pour peindre les roulas de la Bible, il choisit comme modèles de jeunes juives yéménites ou bédouines. Très méticuleux, il réalise tout d’abord des aquarelles dans des couleurs très vives, avant de créer ses lithographies. Un témoignage du droit du peuple juif à la Terre promise.

Abel Pann est un des premiers artistes israéliens à s’être fait un nom dans son propre pays, et à l’étranger. Il est mort en 1963.

 Nicole SURKES, la roula d’www.artists-planet.eu (paru dans Roula Magazine)

 

Le Musée de la culture philistine Corinne Mamane

Le musée Corinne Mamane de la culture philistine
(un article ARTISTS PLANET paru dans ASHDOD CAFE)

Le musée Corinne Mamane de la culture philistine est certainement le plus connu des trois musées de la ville. Il présente l’histoire de la ville portuaire d’Ashdod à l’époque antique où elle compte parmi les grandes cités philistines. Sa renommée dépasse ses frontières terrestres et maritimes.

Ashdod est mentionnée pour la première fois au XIIe sartists-planet-ashdod-cafeiècle avant J.-C. tandis qu’elle vit sous l’hégémonie égyptienne. On la retrouve, par la suite, habitée par un peuple de la mer, probablement les Philistins. Elle est associée à quatre autres cités du littoral méditerranéen : Gaza, Ekron et Ashkelon, avec qui elle compose la Pentapole philistine.

Le musée Corinne Mamane de la culture philistine est le seul au monde à exposer de manière permanente des objets liés à la culture philistine. Les trouvailles archéologiques viennent d’Israël et des pays voisins. Le visiteur est guidé à travers une histoire de six ans, qui débute aux environs de 1200 avant J.-C. et s’achève avec la conquête babylonienne des territoires et de la mer en 600 avant J.-C.  Cette exposition présente des aspects culturels qui, par exemple, permettent de comprendre la fameuse histoire de Samson et de Dalila ou bien encore celle de David et de Goliath.

Le musée intéressera tout visiteur, quel que soit son âge.

Nicole SURKES (www.artists-planet.eu)  – Paru dans www.ashdodcafe.com

 

Jean-Claude PUSCEDDU – L’artiste Mosaïque

Jean-Claude PUSCEDDU – L’artiste Mosaïque
     (présentation d’artiste par ARTISTS PLANET)  

Peintre, acteur, sculpteur, l’artiste bastiais Jean-Claude Pusceddu est né à Casablanca en 1956 d’une mère Corse et d’un père sarde.

Arrivé  à Nice en 1961, il va y habiter jusqu’en 1978 puis s’installe à Bastia.

Dessinateur autodidacte, il se tourne vers la peinture en 1981 sur les conseils d’une amie.

Pendant les années qui suivent il multiplie les supports et les techniques : sculpture et peinture sur bois, tissus, cartons, pierres, il utilise tout ce qui lui tombe sous la main pour créer.

Après de nombreuses expositions collectives, sa première exposition individuelle a lieu au Théâtre de Bastia en 1988.

A la fin des années 80 il se concentre sur la peinture sur toile, à l’acrylique puis à l’huile.

Passionné par les anciennes photos marines, Jean-Claude Pusceddu utilise des magazines pour approfondir sa technique reflet / ombre / lumières.

Les toiles créées à cette période sont choisies pour  figurer au Salon d’Automne de 1991 au Grand Palais , à Paris.

Évoluant toujours à la limite du figuratif, la démarche de Jean-Claude Pusceddu est caractérisée par une prise de risque permanente. Elle suit un rythme très  personnel qui rapproche souvent un art brut plein de fraîcheur à un impressionnisme contemporain. Continuer la lecture de « Jean-Claude PUSCEDDU – L’artiste Mosaïque »

Le Musée d’Ashdod

Le musée d’art d’Ashdod
(un article ARTISTS PLANET paru dans ASHDOD CAFE)

Le musée d’art d’Ashdod est situé au Centre Monart, un centre culturel monartmultidisciplinaire situé au centre de la ville, à quelques pas de la station centrale d’autobus. Le musée ouvre treize espaces dans une structure en spirale répartie sur trois étages. Il n’est pas seulement un lieu d’exposition, mais sert également de lieu d’accueil pour des scolaires, principalement à destination de la jeunesse d’Ashkelon. Un de ses principaux objectifs est d’encourager l’enfant à trouver une approche personnelle du monde de l’art. En outre, en coopération avec le musée Israël de Jérusalem, le musée d’art d’Ashdod est autorisé à donner des cours d’art et offre de valider un diplôme reconnu à l’échelon national.

Par Nicole SURKES (www.artists-planet.eu)  – Paru dans www.ashdodcafe.com